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Poème personnèl
10/09/2010 23:36
Cette nuit la porte s'est refermée tout en me hurlant que tu ne m'a jamais aimé J'ai prié la plus magique des fées de me convaincre qu'une aussi belle fille pouvait exister A la douçeur des matins silençieux la chaleur de l'aube m'apporte l'inaccéssible sensation de t'embrasser C'est a travèrs les diamants de tes yeux que la lumière de l'amour a cesser de briller
Tes yeux, ces deux solèils qui m'ont tant éblouis de vastes ciel bleu, parlons en d'eux! Ils ons cette arrogance qu'on le pouvoir des anges de dieu Ils enchainent mon ame et la rabaisse en faisant chaques jours jaillir un nouveau feu Et malgré ta sombre volonté ils ont fait de moi un éternèl amoureux
A l'aube de ma dix huitième année, les oiseaux printaniés m'on apportés cette tendre cértitude que je t'aimai Regarde moi bien mon amour, j'ai ce visage depourvut de vie qu'on les hommes dont le coeur est devenu trop lourd Moi qui rayonnais et qui me réjouissais que les dernières étoiles est enfin daignée me laisser gouter a ce bohneur inconnu que la vie m'avait depuis toujours cacher sous un long voil
Pourtant aujourd hui ce qui il ya encore quelques lunes me faisais bruler de nouvelles flammes m'a enterré cette nuit sous la solitude épaisse de cette dune Et a chaque souffle au fond de ma prison je rève a tes lèvres possédants ce malin pouvoir a chacune de leurs paroles de m'envelopper d'un parfum mortèl, et ce romantique savoir a chaqun de leur baisés de me porter au ciel
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